RABASTAN WAYNE LESTRANGE ♦ SYMPATHY FOR THE DEVIL
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RABASTAN WAYNE LESTRANGE ♦ SYMPATHY FOR THE DEVIL

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AuteurMessage

ADMIN • mangemort, psychopathe en puissance
Rabastan w. Lestrange
− IRL AGE : 32
− REGISTRED SINCE : 10/10/2011
− PARCHMENTS : 452
− DON(S) : legimens; métamorphage - loup; ( non déclaré )
− RPG AGE : 41 years old;
− CURRICULUM VITAE : célibataire; mangemort au sang pur; ex serpentard; père d'une fille de 17 ans;
− AUTRES COMPTE(S) : nada;


♣ CHARACTER : WHO ARE YOU ? ♣
♦ ORIGINS: germanique;
♦ RELATIONSHIPS:
♦ INVENTAIRE:
Rabastan w. Lestrange

RABASTAN WAYNE LESTRANGE  ♦ SYMPATHY FOR THE DEVIL  Empty
MessageSujet: RABASTAN WAYNE LESTRANGE ♦ SYMPATHY FOR THE DEVIL RABASTAN WAYNE LESTRANGE  ♦ SYMPATHY FOR THE DEVIL  Icon_minitimeLun 10 Oct - 22:57

❧ LESTRANGE && RABASTAN WAYNE5 ❧
• 41 YEARS OLD • MANGEMORT • 7 AOUT, 1956 • EX SERPENTARD • LION • SANG PUR • VEUF • QUESTION STUPIDE, RÉPONSE STUPIDE ? EST DU CÔTÉ DE VOLDEMORT, BIEN ÉVIDEMENT • HÉRITIER D'UNE GRANDE FORTUNE, D'UN NOM TRANSMIS DEPUIS DE NOMBREUSE GÉNÉRATIONS • DEATHEATERS

- Vous permettez ?, demanda l'un des frères Lestrange en sortant de sa poche intérieure, un cigare, faisant frémir le journaliste, redoutant qu'il lui jette un sort impardonnable. Détendez vous mon brave...

Le journaliste de la gazette du sorcier fixa l'homme, déconcerté par ce qu'il put voir. Si on lui avait dit qu'un jour il lui fut donné de voir un des frères Lestrange sortir ce genre d'objet moldu, il aurait conseillé à la dite personne d'aller voir un spécialiste chez sainte Mangouste.

- Vous fumez ? Vous ? Un mangemort qui est connu pour haïr tous les moldus et ce qu'ils peuvent fabriquer ?

- Étrange n'est-ce pas ? Moi aussi j'ai trouvé cela bizarre au début, mais après, on si fait vite, trop vite si vous voulez mon avis. Mais je trouve le cigare si noble... Et puis, je ne sais pas ce qu'ils foutent dans ces trucs, mais après en avoir fumé une bonne dizaine, tout ce qu'avait pu me donner le moldu que j'ai torturé, j'en suis devenu dépendant ! Obligé d'aller chercher ces trucs dans les magasins moldu où ils les vendent...

***



- Un dernier mot moldu, avant que je ne te tue ?

- Pitié, ne me tuez pas !

Ils disaient tous cela et ça commençait sérieusement à lui taper sur le système ce manque d'originalité chez ses victimes ! Soupirant d'exaspération, il allait passer à l'acte et abréger les souffrances de l'homme quand son regard de miel fut attiré par un étrange objet qui dépassait de la poche de sa victime. S'accroupissant auprès de lui pour récupérer cette chose qui l'intriguait, il planta ses prunelles doré dans celle apeuré de l'autre.

- Qu'est-ce donc ?

- Si je vous le dis, vous m'épargnerez la vie ?

- Bien sûr ! Éclairez donc ma lanterne, moldu ! Je brule d'impatience de savoir à quoi ce truc sert...

Se sentant en confiance par les mots rassurant de son bureau, l'homme d'affaire se redressa en grimaçant de douleur et appuya son dos contre le mûr qui se trouvait derrière lui.

-C'est un cigare.

- Un cigare ? Et a quoi servent les cigares ?

- Et bien, ça n'a pas vraiment d'utilité... Les hommes fument parce qu'ils aiment ça. Ça les détendent en quelque sorte.

- Il n'y a vraiment que les moldus pour inventer de tel âneries !

Jetant un regard mauvais au moldu qui lui avait confirmé que ceux de son espèce inventait bien des choses inutiles, il allait se relever quand, sa curiosité piquée au vif, le rattrapa une nouvelle fois.

- Et comment utilise-t-on vos cigares ?

- Oh...rien de plus simple, il vous suffit de couper le bout et tout en gardant l'extrémité dans votre bouche, vous l'allumez avec ça.

Plissant les yeux, se demandant si l'autre ne lui tendait pas un piège, il attrapa les différents objets que lui tendait l'homme et suivi à la lettre ses instructions jusqu'à ce que le tabac cubain soit allumé. Comme il fallait s'y attendre et même si Rabastan était un mangemort confirmé avec une certaine classe sociale, il toussa à en cracher ses poumons.

- Bon sang ! Vous avez cherché à me tuer !, dit le frère Lestrange en se relevant et en pointant sa baguette sur le moldu qui recommençait à pleurer de peur, pas content de s'être fait avoir comme un débutant de bas étage.

- Non ! Non ! Pas du tout ! C'est juste que si c'est la première fois que vous fumez, il est normal que vous toussiez. Je ne cherchais pas à vous tuer * du moins pas tout de suite, se garda-t-il de lui dire, étant conscient des risques que prenait cette brute en goutant à cette merde * Presque tout le monde tousse quand on essaye la cigarette.

- Cigarette ?

- C'est plus petit que le cigare et moins cher...

- Un Lestrange ne s'abaissera pas à acheter quelque chose de pas cher moldu ! Hum et, quand arrêtons nous de tousser ?

Si quelqu'un, connaissant parfaitement la réputation des Lestrange, avait pu avoir l'opportunité de voir et d'entendre cette conversation, il en serait mort sous le choc. Depuis quand un Lestrange « s'abaissait » à demander conseil à ceux qu'ils haïssaient ?

- Et bien, cela vient avec le temps... Une fois habitué à la fumée, on y prend vite gout et on ne tousse plus.

Regardant intrigué le cigare qu'il tenait toujours entre ses mains, le mangemort essaya à nouveau d'aspirer la fumée en tirant sur la chose entre ses doigts. Cette fois-ci, Rabastan ne toussa pas autant mais c'est parce qu'il avait pris soin de ne pas avaler la fumée.

- Merci moldu, tu n'y verras pas d'inconvénient à ce que je t'emprunte ça...là où tu vas, tu n'en auras pas besoin ! Avada Kedavra !

L'éclair vert émeraude jaillit de sa baguette et fila droit sur le pauvre homme, frappant avec violence sa poitrine. Quelques secondes plus tard, son corps sans vie retomba sur le sol dans un bruit sourd, les yeux figés en une expression de terreur.


***


- Est-ce que ce moldu vous a prévenu des risques que vous encourriez en fumant cette chose ?

- Des risques ?

Surpris de ce retournement de situation, Rabastan plissa les yeux et poussa l'autre à en dire plus, n'aimant pas ce qui allait suivre.

- Et bien, en fumant, vous vous exposez à une éventuelle mort...divers cancers, crise cardiaque...etc etc.

- Mais, je suis un sorcier de sang pur ! Je ne peux pas mourir à cause d'un objet moldu ! Le bougre ! Ah il s'est bien gardé de me le dire ça !

- Vous êtes peut-être un sorcier de sang pur, mais vous n'en restez pas moins homme et peut-être que si vous ne l'aviez pas tué tout de suite, peut être aurait-il eut le temps de vous informer pour ça...Mais vous pouvez toujours arrêter, il n'est pas trop tard.

Marmonnant dans sa barbe de trois jours, Rabastan s'enfonça un peu plus dans son fauteuil et tira sur le cigare, avalant lentement la fumée qui descendit le long de sa gorge, filant droit vers ses poumons.

- Impossible...j'ai essayé d'arrêter quand je n'en possédais plus mais...c'est bizarre, j'avais ce manque en moi qui m'a poussé à aller en acheter d'autres.



***

- Des cigares !

- Bonjour à vous aussi et un s'il vous plait ne serait pas de refus.

L'homme avait-il seulement conscience qu'il frôlait la mort en sortant ce genre de réponse au grand brun qui se trouvait en face de lui. Visiblement, non. Puisqu'il continua sur sa lancé, aiguisant ses nerfs quelques peu à fleur de peau depuis quelques jours. De son regard bleu azuré, il détailla avec soin son client, encore inconnu au bataillon et, ne manquant pas de s'en rappeler pour la prochaine fois. Grand, brun, le genre de monsieur muscles qui faisait craquer n'importe quelle fille normalement constitué, l'homme avait néanmoins un accoutrement plus au moins étrange. Si bien que le vendeur se demanda s'il ne faisait pas parti de ces énergumène, fan de twilight, qui se prennent pour des vampires.

- Écoute toi, si tu ne veux pas mourir dans d'atroce souffrance dans le quart d'heure qui suit, je te conseille fortement de me servir...

Et voilà, il y avait toujours quelque chose qui clochait avec ce genre de mecs. Soit ils étaient cons, soit ils étaient gay. Néanmoins, le client était roi et le vendeur pris alors sur lui-même.

- Quels sortes de cigare vous voulez ?

- Comment ça quels sortes de cigares je veux ! Les plus chers !

Et prétentieux avec ceci ! Décidément, il accumulait tous les défauts ce pauv' type. Filant en réserve, il lui rapporta la boite à deux cents livres sterling et lui annonça le prix avec un sourire mielleux. Rabastan qui avait prévu le coup, sorti son argent moldu et les déposa devant l'homme. Il récupéra sa monnaie et sorti en trombe dehors s'en griller une.

***