En plus de dix siècles, l’école de sorcellerie Britannique n’avait jamais connu pareil épreuves et pourtant, aujourd’hui, nous avons le regret de vous annoncer que Poudlard ferme bel et bien ses portes.

Il y a plus de mille ans, quatre grand sorciers et sorcières de l’époque, partageaient le même rêve. Celui d’ouvrir un jour une école de sorcellerie où les professeurs enseigneraient leur savoir et leur amour de la magie. Chacun d’eux créa une maison à leur image où les élèves seraient répartis en fonction de leur caractère et aptitudes.

Durant plusieurs années, l’union des quatre était en parfait accord. La vie à Poudlard allait à son rythme, sans l’ombre d’une menace au dessus de la belle école de sorcellerie. Chacun avaient leurs propres opinions mais en définitif, chacune d’entre elles complétaient celles des autres. Mais plus les années passaient, plus Godric Gryffondor et Salazar Serpentard s’éloignaient, ne possédant pas les même valeurs. Finalement, Salazar Serpentard quitta l’école.
La rumeur dit, qu’avant de quitter Poudlard, Salazar construisit une pièce secrète appelé « chambre des secret », qui renfermerait un monstre.

Bien des siècles plus tard, en 1943, l’école failli renvoyer les élèves dans leurs familles suite au meurtre d’une élève de Serdaigle. L’idée même qu’un autre élève soit tué à cause de la bête de Salazar Serpentard terrifiait les enseignants. Cependant, le monstre de la chambre des secrets fut découvert et tout rentra dans l’ordre.

Aujourd’hui, lorsque nous écrivons ces lignes, il ne s’agit plus de rumeurs mais bien de faits réels. Suite à la fête organisé pour noël, plusieurs mangemorts activement recherché, ont profité de l’agitation pour s’introduire entre les murs de Poudlard, tuant et capturant plusieurs élèves, ainsi qu’un jeune infirmier nommé Benedict Forth. Craignant d‘autres attaques, la directrice, Minerva McGonnal, à préféré fermer les portes du collège. La gazette du sorcier souhaite aux familles des victimes et aux disparus, nos plus sincères condoléances. A l’heure actuelle, nous ne savons pas encore quelle a été la méthode employé par les fidèles de celui-dont-ont-ne-doit-pas-prononcer-le-nom pour s’introduire dans le bâtiments magique qui, rappelons le, était protégé par de nombreux sortilèges puissants, mais une équipe d’expert envoyé sur les lieux nous aiderons surement à y voir plus clair. Nous en profitons aussi pour vous rappeler les conseils élémentaires de sécurité, publié l’année précédente par le ministère de la magie :


1) Il est recommandé de ne pas laisser sa maison vide.
2) Des précautions particulières doivent être prises la nuit. Chaque fois que cela est possible, essayez de rentrer chez vous avant la tombée du jour.
3) Vérifiez les dispositifs de sécurité autour de votre maison en vous assurant que tous les membres de votre famille connaissent les mesures d’urgence à prendre en cas de besoin, telles que le sortilège de Désillusion, le charme du Bouclier et, si vous avez des enfants mineurs, le transplanage d’escorte.
4) Déterminez des mesures de vérification particulières avec les membres de votre famille et vos amis proches afin de détecter les Mangemorts qui tenteraient de se faire passer pour eux à l’aide de Polynectar.
5) Si vous avez l’impression qu’un membre de votre famille, un collègue, un ami ou un voisin se comporte d’une étrange manière, appelez aussitôt la Brigade de police magique. Il se peut qu’il ait été soumis au sortilège de l’Imperium.
6) Si la Marque des Ténèbres apparaît au-dessus d’une habitation ou de tout autre bâtiment, N’Y PÉNÉTREZ PAS et contactez immédiatement le Bureau des Aurors.
7) Selon certains témoignages non confirmés, des Mangemorts auraient recours à des Inferi. Si vous voyez un Inferius ou si vous vous trouvez confronté à l’un d’eux, signalez-le IMMÉDIATEMENT au ministère.

Sachez, chers lecteurs, que nous vivons des heures sombres. Le meilleur moyen de rester à présent vivant, est de nous soutenir les uns, les autres. Gardez bien à l’esprit les paroles d’Albus Dumbleodore :

« On peut trouver du bonheur même dans les endroits les plus sombres. Il suffit de se souvenir, d’allumer la lumière. »