HETZINGA ♦ wake me up before you go-go;
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HETZINGA ♦ wake me up before you go-go;

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MessageSujet: HETZINGA ♦ wake me up before you go-go; HETZINGA ♦ wake me up before you go-go; Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 19:20

❧ HETZINGA AMBROISE VON BAUER ❧
• 18 ans • étudiante • née le 16 août 1980 • lion • sang pure • pro-mangemort • très riche • serpentard
« Descendants de ma noble famille, héritiers d’une génération maudite, et vouée à la lutte sociale, financière, magique, sanguine et incestueuse. Dés l’instant où vous ouvrirez ce parchemin, vous saurez la vérité. Votre vie entière, à vous, mes progénitures de siècle en siècle, sera condamnée. Nous ne trouverons le repos que lorsque la mission de notre famille toute entière sera achevée. La mise à mort de tous les êtres nous étant inférieurs, et polluant notre monde. Les nés Moldus. Des abominations que vous devrez de punir, de ramener à leur place, celle qui leur est droit. Là est l’ambition de la vie que j’ai menée, dans l’obscurité, les ténèbres, et la vengeance. Ces êtres m’ont humiliés, et il est de mon devoir de faire cesser cela, et d’aspirer à ramener les sorciers de Sang Pur de ce côté, de notre côté, car nous sommes tous une grande famille. Chaque Sang Pur se trouve être plus ou moins lié d’une quelconque façon à un autre. Profitons de cet échange, de ce destin, de n’être qu’un. Et tous ensembles, nous vaincrons. Nous récupérerons notre monde.

Mais plus importants, descendants, ce que vous avez dans votre sang, est unique et précieux. Il vous confère un pouvoir, qu’aucun autre sorcier ne possède, s’il ne se trouve pas lié par nos ancêtres de l’Est. Le loup blanc des neiges, est le signe familial, notre emblème. Et c’est en quoi, cet animal est important pour nous. Dés votre seizième anniversaire, le soir même, ce pouvoir pénétrera dans votre corps, vos veines, et de part la souffrance, vous obtiendrez ce cadeau ancestral. Il vous donnera la force de vous métamorphoser en cet animal, lorsque vous le voudrez, et sans années de pratique, ou d’entraînement pour le devenir. Ce n’est pas un animagi, à proprement parlé. C’est un don que vous hériterez tous, et que vous devrez cacher, contrôler, et ne pas en abuser. Cependant, l’utilisation de cette magie ancienne vous épuisera facilement, vous contraindra à ne pas rester sous cette forme des journées entières. La fatigue se laissera ressentir, et vous devrez raisonnablement dormir, à chaque utilisation, peu importe l’endroit, vous le devrez. C’est pour cela que ce pouvoir, est à la fois un don, et une malédiction. Prenez soin de mon héritage, vous, sorciers et sorcières de mon sang.
Grief Grindelwald, premier du nom. »



♫♫♫



Au petit matin dans une demeure située en Autriche, une jeune enfant vit le jour. Une charmante petite fille, blonde, aux yeux bleus-verts. Elle souriait, et affichait cette mine boudeuse, si attrayante, à un point que les parents ne pouvaient la délaisser, ou ne pas fondre devant ce regard si expressif, et pénétrant. Comme du cristal. Elle scintillait.

Hetzinga Ambroise von Bauer.

Cette jeune fille, leur causerait bien des soucis, mais ferait à la fois la fierté de son père, et la souffrance de sa mère, morte quelques années plus tard, tuées par des Aurors.

Ambroise ne digéra jamais cette perte, et ne pouvait que détester ces hommes, ces fameux justiciers, de lui avoir ôté la plus belle chose qui existait dans sa vie, sa mère. Ses parents étaient Mangemorts, à une heure où le Seigneur des Ténèbres régnait en maître absolu sur le Monde Magique. Armand von Bauer était un de ses plus loyaux fidèles, et ne résistait devant personne, combattant avec ferveur au nom du Seigneur, jusqu’au jour où ce dernier s’éteint de toute vie. Il disparût. Soi-disant tué par celui que l’on appellerait le Survivant.

Quel malheur.

Armand, craignant pour sa famille, et ses deux filles, Hetzinga et Charity, décida de trahir le Lord, avec difficulté. Il prétexta avoir agit sous le sortilège de l’Imperium, tout comme Lucius Malefoy. Après maintes et maintes délibérations, on crut son histoire, et on lui permit d’exercer ses fonctions au sein du Ministère, et de vivre, dans son manoir de Londres, auprès de ses proches, une fois que la demeure fut intensément fouillée. Ils ne trouvèrent rien de compromettant, tout simplement parce qu’Armand fut le plus malin de tous. Il cacha tous ses objets, livres, et autres grigris de Magie Noire vers l’Est, dans la terre de ses ancêtres. Armand ne conserva que cette simple lettre, celle de Grindelwald premier.

Très jeune, sa petite fille préférée fut Hetzinga, il la sentait plus propice à ce qu’il s’apprêterait à lui apprendre plus tard…et il n’en eut la confirmation qu’à ses huit ans. Une année, qu’Armand n’oublierait jamais.

‒ Dors, petit chat, dors, souffla une voix de fille, près d’une baignoire.

Elle lui sourit, telle une démente.

Ses petites couettes de cheveux blonds clair, bouclés élégamment tenus par des nœuds en soie pourpre, virevoltèrent légèrement sous ses pas. Elle portait une robe charmante en dentelle et en velours noir, ainsi que des collants de satin de soie blancs, et des petites chaussures vernis noires assorties à la tenue.

Elle laissa tomber le chat dans la baignoire remplie d'eau tiède, et le contempla entrain de se noyer, progressivement, petit à petit...jusqu'à ce que ses yeux se gorgent d'eau, et que ses miaulements plaintifs finissent par faire froid dans le dos.

Hetzinga avait laissé le chat de la famille mourir, l'avait observé sadiquement, juste pour " voir " ce que cela pouvait lui faire...Lorsque Armand apprit la vérité, il ne cilla pas, ne réagit même pas. Le patriarche de la famille s'était contenté de sourire.

La petite était douée.



♫♫♫



Un rire éclata dans l’air, un rire froid, traînant, et d’une malveillance à l’état pure. La silhouette élancée, au teint pâle, et à la chevelure claire comme de l’or fit volte-face afin d’effleurer délicatement la manche d’uniforme de Katherine Enfield, sa condisciple de Slytherin. Ce fut à cet instant précis, que l’élève de la maison des rouges et ors, les poings encore tremblants d’humiliation, et secoué par les brimades de ses camarades, se releva péniblement. Les autres ne faisaient guère attention à lui pour le moment, bien trop préoccupés par les moqueries doucereuses qui émanaient toutes d’Ambroise. Il grimaça, frustré, et se décida d’agir. Il empoigna sa baguette magique et l’agita avec force en direction de la vipère blonde, les lèvres pincées.

‒ Hé, von Bauer !, siffla le Gryffindor, les oreilles écarlates, IMPERDIMENTA !
- Protego ! »

La réplique de la blonde agit en lui comme un électrochoc. Une impression de bouclier argenté, fait d’éclair et de fumée d’une teinte translucide, presque immaculée, émana de la baguette de la Slytherin, la protégeant ainsi des attaques de son interlocuteur. Pétrifié par la rapidité de cette fille de cinquième année, il recula peu à peu, dans l’espoir de prendre la fuite, jusqu’à ce que sa cheville ne s’accroche à une branche morte d’un arbre qui trônait tout près d’eux. L’élève s’effondra piteusement sur l’herbe fraîche, et légèrement humidifiée par les gouttelettes de pluie qui commençaient à tomber.

La réaction du camp ennemi ne se fit pas attendre. Tous se mirent à ricaner mauvaisement, tous, à l’exception d’Ambroise von Bauer, qui fulminait d’une rage dévastatrice.

‒ Alors, gamin, tu veux jouer au plus rapide avec moi ? railla Ambroise, sa baguette, fièrement dressée en direction du petit de deuxième année. Elle entreprit de marcher jusqu’à lui, les pans de sa courte jupe plissée noirâtre se glissant entre ses jambes fines. Hum – on va bien rire, tu vas voir mon petit. Ses lèvres rosées s’étirèrent en un sourire mesquin, presque dément. Une lueur de folie scintilla dans le fond de ses pupilles bleues-verts. Et l’attaque fut automatique. Endoloris.

Tandis que le jeune garçon se pliait de douleur, allongé dans l’herbe humide, elle éclata de rire, au même titre que ses camarades. Il criait, gémissait, tel un petit animal qui aurait été prit d’une balle venant d’un chasseur. Une biche blessée. Un renard humilié. Cela la divertissait tellement, qu’Ambroise ne pu contenir son rire moqueur. On le lui faisait souvent subir, ce sortilège, comme bon nombre d’enfants de Mangemorts, afin de – d’apprendre à résister à ce genre de maléfice. Le résultat était certes bluffant, mais douloureux, intensément, et conduisait généralement à le jeter sur d’autres cibles beaucoup plus faibles pour se dispenser de l’humiliation, et d’exorciser sa peine.

‒ Ambroise, c’est pas que je voudrais gâcher ton plaisir mais…Arrête là, il pourrait le répéter et tu finiras à Azkaban ! l’avertit une brune, légèrement névrosée, et craintive de l’état misérable du petit garçon qui se tordait d’une douleur inhumaine à leurs pieds.
-Ah mince, j’y avais pas pensé –

Et sans un mot supplémentaire, elle fit cesser le sortilège, pour en lancer un autre. Oubliettes. Au bout de quelques secondes, le garçon rouvrit les yeux, encore secoué par d’étranges spasmes dont il ne saurait déterminer l’origine. Il leva ses yeux bruns vers les quatre étudiants de cinquième et de sixième année, et se frotta négligemment les cheveux, avant de prendre pour appui une écorce d’arbre.

‒ Que…que s’est-il passé ? Je suis tombé ? J’étais venu ici pour réviser le devoir de Potions du professeur Rogue quand…Que…Qui êtes vous ? Vous êtes à Slytherin ?

Ambroise leva la main, lorsqu’une des filles ouvrit la bouche, dans l’espoir de parler. Elle s’approcha du garçon, et tapota son épaule, telle une mère bienveillante.

‒ C’est ça mon petit, nous sommes à Slytherin. En faite, tu as glissé à cause de la pluie, tu vois – dépêche toi de retourner dans ta salle commune, je suis préfète, et je n’aimerai pas avoir à faire acte d’autorité sur un gamin aussi adorable que toi.

L’interpellé hocha la tête, et remercia timidement la blonde. Il entreprit de courir, et manqua à nouveau de s’écrouler sur l’herbe. Quelques Slytherins rirent de bon cœur, amusés, mais le sourire avait finalement disparut sur le visage d’Ambroise von Bauer. Elle se promit intérieurement d’être un peu plus sérieuse, la prochaine fois.


♫♫♫



‒ Je-- Par pitié, arrêtez, supplia une voix, au bord de l’évanouissement. Une silhouette de femme trônait au sol, à genoux, les paumes des mains étonnamment pâles et tremblotantes —moites – frôlaient le parquet parfaitement vernis du bureau d’étude. Je n’en peux plus.

Un éclat de voix résonna, froidement. Puis un rire. Glacé. Et un enchantement retenta à la suite, un sortilège toujours plus fort. La jeune femme s’effondra à nouveau au sol, secouée de nombreux spasmes de douleur. Elle se cambrait, se courbait, et se recroquevillait sur le parquet qui baignait d’un sang invisible, en piteux état. Un liquide salé, aqueux vint se loger au bord de ses cils délicats et noirs comme de l’ébène, se gorgeant sous ses iris bleus-verts. La sensation était intensément douloureuse, comme si des épines et aiguilles se plantaient dans sa chair par millions, la faisant hurler comme jamais, comme si ses os se cassaient en deux au fur et à mesure, jusqu’à ce que ses muscles et ses nerfs s’enflamment, se brisent et se convulsent nerveusement, que sa peau se mettait à brûler, brûler, à petit feu.

‒ Pitié ?

Cingla la voix avec un profond mépris qui lui était propre.

‒ Levez-vous, ordonna-t-il d’un ton autoritaire, en reposant lentement sa baguette magique, brune, sur le bord de son bureau.

L’adolescente obéit, et parvint avec difficulté à retrouver un rythme cardiaque à peu près normal, avant de marcher, dignement, jusqu’à cet homme blond, d’un certain âge mûr, et qu’elle appelait père, depuis son enfance.

‒ Vous savez, mon enfant, que je ne fait cela que pour vous endurcir, n’est-ce-pas ? Il viendra le jour où vous rejoindrez les rangs du Seigneur des Ténèbres, tout comme votre père, votre oncle, et votre défunte mère – paix à son âme. Elle, qui à mourût pour notre cause, notre idéologie ! clama-t-il, en la prenant par les épaules, pour lui offrir un sourire franc, mais sec.

‒ Je le sais, père…Mais la tâche s’avère si difficile, c’est – douloureux.

Ce mot sembla le faire tiquer. Il la lâcha et cracha :

‒ Douloureux ? Douloureux ? Ce n’est en rien douloureux, jeune fille. J’ai connu des choses bien pires que de simples sortilèges de Doloris ! Si vous ne parvenez pas même à vous habituer à cette souffrance, comment réagiriez-vous devant les pires horreurs au combat ? A la souffrance véritable, réelle, et qui n’est point le fruit de votre imagination. Que direz-vous, lorsqu’au lieu d’avoir l’impression de perdre un bas, vous en perdiez un physiquement ?

La fille ne répondit pas, se bornant à rester muette, profondément indignée par les dires de son géniteur. Il avait raison.

Il aurait toujours raison.

Et elle continuerait à résister, et le rendre fier de sa progéniture, comme par le passé, lorsqu’elle déclencha inconsciemment ses pouvoirs magiques, et tua le chat de la famille. Il n’avait pas semblé furieux, non, plutôt honoré, et satisfait. Sa fille était forte, et à son image, c’est tout ce qui lui importait. Une vie misérable détruite, ne l’intéressait en rien. Il n’y avait qu’Ambroise qui comptait.

Ambroise avait honte de penser cela, mais elle en viendrait presque à redouter ces soirées pratiques au manoir Von Bauer. Ces heures étaient si calculées, précises, et régulières, que cela ne lui permettait pas de sortir voir ses quelques fréquentations le lendemain, tant elle était exténuée. Les sortilèges Impardonnables que son père lui lançait pour l’entraîner, lui aspirait toute son énergie vitale, et la clouait au lit une matinée entière, jusqu’à l’heure du coucher, où il l’attendait à nouveau, près de son imposant bureau en chêne massif, pour une nouvelle séance d’entraînement.

La jeune femme, une fois relevée, inclina très doucement sa tête blonde en la direction d’Armand von Bauer, et esquissa un demi-sourire, en le voyant afficher ce rictus sympathique à son tour.

‒ Bien, père. Pardonnez mon manque de discernement. Je vais aller me coucher, si vous me le permettez… chuchota-t-elle à voix basse, n’osant faire le moindre mouvement brusque tant qu’il ne lui aurait pas donné son approbation.

Armand sembla réfléchit durant une dizaine de secondes, avant de se décoller du bureau et d’aller trier quelques livres aux couvertures anciennes de son imposante bibliothèque personnelle.

‒ Vous le pouvez, ma fille. Reposez-vous bien. Demain est un grand jour, le Seigneur des Ténèbres voudra vous parler, et il y a de fortes chances pour que – vous puissiez enfin rejoindre ses rangs. Je vous ai préparé à la douleur physique, ne me faites guère honte au moment crucial où il vous marquera, même si cela vous fait mal, n’esquissez aucun rictus. M’entendez-vous ?

Le timbre de sa voix était autoritaire. Armand n’aurait pas accepté les moqueries de ses camarades, si l’on venait à penser que sa fille préférée était assez faible pour crier de douleur. Lui, avait résisté, en se mordant les lèvres jusqu’au sang, jusqu’aux dernières secondes, et il espérait vivement que sa progéniture en fasse de même. La blonde hocha la tête, sans un mot supplémentaire.

‒ Vous serez fier de moi, père.

Puis, Ambroise quitta la pièce lentement, encore plus cinglée et dépendante de ce traitement qu’auparavant.

Ø les moldus – la viande rouge – l'humiliation – la trahison – la compassion ou la pitié – les sangs de bourbes et autres traitres impures – qu'on l'insulte, elle, ou sa noble famille – sa soeur cadette Charity – l'ordre du Phénix – les Weasleys – Harry Potter – ne pas être invitée à un dîner.
les livres de Gilderoy Lockhart – la loyauté – le feu – tuer pour une cause idéologique – les contes des frères Grimm (seuls artistes moldus qu'elle apprécie quelques peu) – son arrière-grand père Grindelwald – son vénéré père adoré – le Seigneur des Ténèbres – faire ses preuves – les tartes au citron meringuées – le quidditch – la neige – les potions et les arts obscurs – son héritage – martyriser et éventrer des petits animaux sans défense.

ETIQUETTE ►
Il arrive que des personnes vous attribuent une quelconque étiquette, et s'emplissent de préjugés vous concernant, ou bien, vantent vos exploits auprès de leurs proches. Où que vous allez, dites nous, que raconte-t-on sur vous ?

FAMILLE ►
Expliquez nous quelques détails à propos de votre famille, ou du moins, de ses principaux membres. Quelles sont vos relations avec eux, que font-ils dans la vie, sont-ils en vie, ou décédés ?

ORIGINES ET NATIONALITE(S) ►
Que vous soyez né(e) dans tel ou tel continent, on ne peut nier que vous disposez sûrement d'origines sanguines. Comment étaient vos ancêtres ? Et avez-vous à une période donnée, collectionner les nationalités ? Et surtout, quelle est votre ascendance sanguine ? Pure, mêlée, ou moldue ?

TRAITS DE CARACTERE ►
De part quelques lignes, ou bien une assimilation d'adjectifs, détaillez-nous en profondeur ce qui vous motive à agir de la sorte, quels sont vos principaux défauts et qualités, ainsi que leur impact sur autrui.

LES VICES CACHES ►
Votre personnage a bien des vices, ou une quelconque face cachée, n'est-ce-pas ? Il est donc temps de nous l'indiquer ci-dessous ! (5)
Aime plus que tout, expérimenter des choses sur le corps humain, et ne peut contenir sa joie à l'idée d'éventrer des animaux, ou de torturer durant de longues heures ses condisciples de Poudlard, juste pour voir l'effet que cela leur procure de souffrir.
Dévore toutes sortes de Cupcakes, de muffins, et autres gâteries sucrées Britanniques et Américaines. EN est obsédée.
Possède le don familial, celui de se changer en louve grise quand bon lui semble.
Passe ses nuits à rédiger des lettres, et à inventer ou améliorer certains sortilèges, et potions.
Est une des meilleurs élèves de sa promotion malgré son attirance sordide pour la Magie Noire.


MANIES ET TICS/TOCS ►
Tout le monde dispose de ses petites habitudes, tics, et manies ; mais plus particulièrement, quels sont les vôtres ? Nous vous écoutons, dévoiler votre face cachée.

SIGNES PARTICULIERS ►
Possédez-vous des cicatrices, des tatouages ou un quelconque signe qui indiquerait à quiconque qu'il s'agit bien de vous ? Votre corps dispose aussi d'un passé, laissez-nous en apprendre plus sur votre histoire.

CONVICTIONS, ET IDEAUX ►
On en a tous. Tout être humain est dôté de convictions, et d'un idéal qu'il souhaite atteindre au fil du temps, ou bien au gré du vent. Que racontez-vous à ce sujet ?

PATRONUS ►
Ayant déjà pratiqué ce sortilège par le passé, ce qui sort de la baguette de la jeune fille en une opaque fumée argentée est un aigle royal.

EPOUVANTARD ►
Cette chose prend habituellement la forme de son propre corps mutilé, réduit en charpie et ayant perdu de sa beauté.

MIROIR DU RISED ►
Dés que les pupilles bleus-verts de la jeune fille se posent sur ce majestueux miroir, ce qu'elle y voit n'est rien d'autre que son propre reflet, en beaucoup plus belle, blonde, somptueuse et fort riche ; entourée de nombreux adorateurs, tous la vénérant comme la Déesse qu'elle est devenue. Elle se voit courronnée, brillante, et dîplomée avec mention, ainsi qu'immortelle. Douée en sorcellerie à un point que personne d'autre n'est capable de lui arriver à la cheville, pas même le Seigneur des Ténèbres.

BAGUETTE MAGIQUE ►
Hetzinga dispose d'une baguette longue de 27,5 centimètres, en bois de chêne, et avec un cheveu de Vélane en son sein.


❧ HAVE YOU SEEN THIS MUGGLE ? ❧

HORS-JEU :
On ne me connait pas ? Allons, c'est moi, je suis ta mère ! Alors, huhu, appelez moi Maddie, (et oui, ça vous rappelle quelqu'un? I love you) j'ai dix-neuf ans...et pour Hetzinga, j'ai finalement opté niveau célébrité pour la belle Amber Heard. J'ai longuement hésité avec Teresa Palmer, qui est devenue la jeune soeur de Von Bauer ! Comment ai-je trouvé le forum ? Fort simple, j'ai du soudoyer les gardes d'entrée pour ! Ah, qu'ils étaient débiles ! *sort* Et puis, je n'ai rien à redire, il me semble correct, et les gens ici sont sympas...Je les victimiserai ! *sbaf* Oh, aussi, je suis pyromane, zoophile, psychopathe, et pédophile ! I love you Le code fut vérifié par Voldychou.


Dernière édition par H. Ambroise von Bauer le Sam 10 Sep - 5:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: HETZINGA ♦ wake me up before you go-go; HETZINGA ♦ wake me up before you go-go; Icon_minitimeVen 26 Aoû - 7:46

J'suis fan de ton rp *_*
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MessageSujet: Re: HETZINGA ♦ wake me up before you go-go; HETZINGA ♦ wake me up before you go-go; Icon_minitimeVen 26 Aoû - 7:57

J'adore le doublon "Lord Voldychou" ou comment perdre toute crédibilité *ZBAM*
J'aime beaucoup ce que tu nous as fais pour le moment! Je me réjouis de voir ça, quand ce sera fini (a)
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MessageSujet: Re: HETZINGA ♦ wake me up before you go-go; HETZINGA ♦ wake me up before you go-go; Icon_minitime

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