Sujet: PV BY RABASTAN WAYNE LESTRANGE. Lun 31 Oct - 7:49
❧ DASHWOOD & INDIANA NEMO ❧
Indiana Dashwood, Indy pour les intimes. Fils de Rabastan Lestrange et d'Eleonor Dashwood. Fils que l'homme ne connait pas puisque celui ci n'a pas souhaité donner suite à la relation qu'il entretenait avec cette femme, engagé auprès d'une autre. Et pourtant, le gamin connait son père. La jeune femme, folle amoureuse, à souhaité lui dire qui était réellement son père, lui parlant de lui en bien, mettant en avant ses bons côtés. Mais comment vanté les mérites d'un père absent auprès d'un jeune homme ? Surtout quand sa jeune mère décéda à la suite d'une orgie de mangemort et que parmis ces hommes, se trouvait son géniteur. Le reconnaissant de loin, l'ayant reconnu grâce aux clichés que lui avait montré sa mère de cet homme, Indiana sentit une véritable hainte déferler en lui.
Un jour ou l'autre, ils finiront bien par se retrouver l'un en face de l'autre. Oui, un jour ou l'autre, Indiana conterait l'histoire que fut sa vie sans la présence d'un père et comment sa mère est mort. Car dans la vie, tout se paye.
ØLes mangemorts - La pluie - Les légumes - Son père - Se raser - Les uniformes de Poudlard - Harry Potter - Etc ♥ Sa mère - l’Angleterre - Le soleil - Le rock & la musique pop moldue - Les instant de calme avant les orages - Les livres - La neige - Les guitares - S'étendre dans l'herbe de Poudlard - Les potions et l'art vigoureux de leurs préparations - Griffondor, sa maison
RABASTAN WAYNE LESTRANGE Aperçu de loin, alors que l'homme était en train de parler avec un de ses collègue pendant qu'il étaient en train de torturer sa mère, il lui voue une haine sans borne et, depuis cet incident, âgé alors de treize ans, le jeune homme s'est promis de lui faire payer au centuple près, toutes les peines qu'il a pu causer à sa défunte mère. C'est à cause de lui qu'il s'est retrouver dans un orphelinat. Indiana reproche même à cet homme de ne l'avoir pas aimer, lui qui manquait terriblement de l'amour d'un père, de sa protection.
UC. UC
❧ LESTRANGE & RODOLPHUS LUDWIG ❧
Quatre mois, cela faisait quatre mois que cet homme, en bas de la rue, était filé. Quatre longs mois pendant lesquels celui-ci semblait avoir les mêmes habitudes, tentant de changer d’itinéraire ou simplement en essayant divers styles vestimentaires, mais rien n’y faisait. Pitoyable...Au final cet individu avait refait sa vie, devenu cadre dans une soi disant entreprise, mais jamais les traîtres ne sont laissés vivant. Répertorier ses faits et gestes jusqu’à savoir quel rouleau de papier toilette cet abruti prenait, en soit, cela peut sembler être un jeu. Être au courant de tout, oui, c’était cela la tâche qui devait être accompli. On pouvait noter que son «fabuleux travail» s’étalait sur toute la semaine, du Lundi au Samedi. Tout le temps, oui, constamment, c’était plutôt le mot, l’homme se levait vers 6 heures pour prendre une douche, le gel douche utilisé, était d’une marque douteuse, et une odeur nauséeuse en ressortait, une chose donc très désagréable. Mais cela n’était qu’un détail de la piètre vie de cet individu.
Sur le coup des 7 heures, l’homme allait chez un «tobacconist» situé à un coin de la Jermyn Street. Chose étonnante, les moldus raffolaient d’une chose appelée «cigarette» hautement toxique pour la santé et bien évidemment l’individu semblait être de ce bord-ci. La foule, dans le petit commerce paraissait être un troupeau de moutons, uns à un, ils demandaient leur dose habituelle, sait-on jamais s’il s’agissait d’une drogue ou d’un simple mouvement de foule. Tous, firent le même geste après être sorti, décacheter le paquet pour se servir, portant ensuite l’objet d’apparence longue et circulaire à leurs lèvres. Seul le condamné se dépêcha de partir et crama sa clope en marchant . Cet homme semblait avoir un timing parfait à respecter, une demie heure plus tard il se trouvait dans un bar. Rentrant à l’intérieur de l’enseigne l’individu commanda son habituel café avec des croissants et se plaqua contre une vitre teintée, pouvant ainsi observer l’entourage extérieur sans se faire voir. Peine perdu, il était traqué, et la pathétique personne cherchant à fuir le savait. En sortant du bar, l’homme fuma une autre cigarette, ses doigts se crispèrent sur le filtre, et le médius tapota dessus à plusieurs reprises. La proie fila, couru peu à peu pour rejoindre le métro londonien le plus proche: à Green Park, c’était là, que pendant la totalité de la journée, la victime se sentirait en sécurité. Mais ce n’était que partie remise. Une proie restait une proie, et la traque subsistait. La chasse continuait et même si cet imbécile se sentait en sécurité dans son emploi de couverture, il ne s’écoulerait que onze heures avant que la filature ne reprenne, puis, seulement quelques temps avant sa mort.
Onze heures s’écoulèrent, la proie sorti de son lieu de travail, celui-ci revêtit son chapeau, peu après avoir fait un signe de main à l’un de ses collègues. Cet être, aussi pitoyable soit-il, ne pouvait inspirer aucune pitié, malgré son histoire, malgré le fait qu’il ait déjà perdu énormément. Vagabondant dans les rues londoniennes, comme à ses habitudes, cet homme faible parti à la recherche d’un pub, un endroit où se bourrer la gueule, un emplacement où il pourrait oublier ses soucis, et commettre la première des imprudences. L’homme pénétra dans un pub, et à juste titre, observant les lieux, il remarquait la peinture boisée des lieux, un bois couleur chêne, étrangement, aucun son n’était perceptible si ce n’était le bruit des verres clinquant entre eux et quelques rires. Un bref soupir, c’était tout ce que le damné laissait percevoir avant de commander une énorme pinte de bière. Une, puis deux, puis trois, l’homme en profitait comme si sa dernière heure avait sonné. Un temps passa...Puis un autre. L’individu sorti par la porte de l’arrière, entre temps, une autre pinte frappa le bois du réfectoire. Des pas vifs claquèrent sur le sol et la porte sembla ébranlée. L’homme...fumait sa cigarette comme s’il s’agissait de la dernière...Comme s’il était condamné. Le condamné à mort se retourna...il savait que ça arriverait...la mort l’attendait.
- Silencio, c’est étrange...je t’aurais bien coupé la langue à la place...Mais j’ai besoin que tu te taises et que tu te laisses faire.
Le condamné, apeuré, commença à courir, ce n’était sans compter sur la dextérité du traqueur qui agita à nouveau sa baguette pour lancer un nouveau sort:
- Immobilis! Hum...il semblerait que tu ne sois qu’immobilisé...Te stupéfier...non, cela me paraît bien trop charitable. Tu ne sentirais pas la douleur du traitement.
L’homme ne pouvait ni se débattre, ni hurler, et hurler, était la seule chose qui lui venait à l’esprit. Que y avait-il de pire que de se retrouver sans parole, sans même pouvoir bouger? La réponse semblait toute trouvée. Les yeux moites, la victime observait son agresseur, apeurée. Aucune pitié. C’était le mot d’ordre. Aucune pitié. Son traqueur pressa le pas, se trouvant à quelques millimètres de lui. Leurs regards se chevauchèrent. Il savait quelle était la prochaine étape, et rien ne pouvait le délier de l’étreinte brutale de l’émissaire du lord. La voix grave du tortionnaire lui fit comprendre.
- Tu sais ce que je recherche? Tu sais pourquoi je suis ici, aujourd’hui, devant toi?
Il voulait nier l’acte, il souhaitait nié la traîtrise commise il y a 5 mois. L’humiliation que la pauvre petite brebis avait flanqué au mangemort n’allait pas resté impuni. Piquer une information vitale au lord était une chose, lancer une accusation fausse et faire déchoir de leur rang la famille Lestrange était un acte impardonnable. Première étape : Endoloris. Une fois le sort lancé, le corps de la victime convulsa, il n’eut aucun son audible.
- Tu n’es pas censé bouger mon gars...Au fait...Rodolphus. Rodolphus Lestrange. Ce nom te dit-il quelque chose?
Un silence pesant survint. La brebis égarée, complètement acculée contre un mur, observait avec terreur la patience dont faisait preuve le membre aîné des Lestrange. Celui-ci était adossé contre ce même mur et sortait un cigare de la poche intérieure de son veston ainsi qu’une boite d’allumettes jouant avec les nerfs de sa victime en faisant tapoter une de ces fameuses tiges fines qui s’incendia. Le mangemort approcha lentement l’allumette du cigare tout en observant sa proie de ses yeux moqueurs, et fini par se rapprocher de l’autre avant d’ajouter:
- Je te trouve bien silencieux, mon gars, ce n’est pas ton genre, toi qui aime colporter des informations faussées à droite et à gauche. Aimerais-tu que je te délie la langue? Aucune réponse? J’en déduis que tu approuves mes méthodes, je craignais que l’on ne soit pas sur la même longueur d’onde. Finalement, t’es un type bien...mon gars.
Lestrange inspira la fumée la faisant rouler dans sa gorge celle-ci allant tout droit dans ses poumons et la rejeta par le nez nonchalamment.
- Nous aurions put être amis, dans une autre vie. Mais vois-tu, salir les Lestrange est la dernière chose que tu auras fait. Une dernière volonté, traître?
Bien évidemment, il n’y eut aucune réponse. Comment l’homme pouvait-il se défendre, le traqueur ne lui laissant aucune manière de contredire ses accusations pourtant fondées. Remarquant que le sort était encore enclenché, Rodolphus se permit de pouffer, amusé par la situation.
- Oh! Pardonne-moi. J’ai tendance à m’éloigner du sujet. Après tout ce temps à te traquer, j’avoue que je pensais sérieusement qu’une petite discussion s’imposait. N’as tu pas remarqué que la Grande Ourse est visible aujourd’hui? Bien-sûr que non, tu es obnubilé par ce qui peut bien t’attendre. Tu n’es pas vraiment d’humeur à causer, quel ennui! Finalement, cette traque n’est pas ce que j’espérais. Je pensais que le jeu serait des plus stimulant, hélas, je vais de déception en déception avec toi. Toi-même, tu es une déception.
Rodolphus arrêta l’Endoloris jugeant que sa proie était assez affaiblie pour pouvoir récupérer l’information qu’il souhaitait. Le mangemort pénétra au plus profond de l’esprit de sa victime grâce au sort Légilimens., énormément de zones d’ombres s’y trouvaient. Une multitude d’escaliers, à l’envers comme à l’endroit représentait la complexité et la souffrance de sa proie. Un gouffre, voilà ce qu’était l’esprit de l’être, et au fond, de cet esprit coloré de noir se trouvait la fameuse information qu’il détenait. Pourquoi fallait-il que le traqueur récupère cette donnée? Tuer l’homme n’était-il pas la meilleure chose à faire? Par curiosité, Rodolphus continua sa recherche, fouilla ces zones obscures, dans l’une d’elle, il pouvait y apercevoir un homme drapé de noir tendre sa baguette au visage de la femme de sa proie, pour sans doute la tuer.
- Alors comme ça, je ne suis pas le premier à t’avoir traqué? Ça doit être dur de revivre sans cesse la même scène, ou peut-être en es-tu devenu un habitué. Que caches-tu d’autre?
La fouille parue incessante, interminable et pourtant cela ne faisait que quelques minutes que le mangemort avait pénétré dans l’esprit de sa victime. L’environnement paraissait brumeux, s’agissait-il d’un ancien souvenir enfoui? Des voix caverneuses parlèrent, l’un d’eux était de toute évidence la victime, tandis que l’autre, semblait être un homme que Rodolphus avait connu et haï que trop bien. Cet individu à la barbe mal taillée avait une dispute avec la victime du mangemort. Les mots semblaient lourds, presque inaudibles. Seuls des termes comme «catin» ou encore «traîtresse» parvinrent aux oreilles du spectateur. Il continuait d’observer, jusqu’à comprendre pourquoi cet individu de sang noble buvait jusqu’à en devenir saoul. Une bagarre éclata, les deux protagonistes de la scène se frappèrent jusqu’à ce que l’un d’eux tombe au sol, l’autre s’enfuyant. Cela laissa Rodolphus pensif un court instant, puis revenant à la réalité des événements, le mangemort écrasa le cigare sur la tête de sa proie.
- Je pense qu’il est temps d’en finir. Avada Kedavra!
Le corps tomba le long du mur, inerte. Le mangemort tourna les talons et son regard rencontra un nouveau venu.
Celui-ci observait sa montre avec attention et finalement, après un instant de silence, l’homme lâcha :
- Vingt trois heures neuf Rodolphus...tu es en retard de neuf minutes !
Soupirant d’exaspération mais néanmoins amusé par la situation, Rabastan s’avança vers son frère et jeta un bref coup d’oeil au cadavre, étalé à leurs pieds.
- Tu es en train de te ramollir vieux crabe !
- Humpf.
Souriant, amusé par cette vieille expression qu’employait son frère, Rodolphus ne releva pas la pointe d’ironie que maniait Rabastan avec peu de subtilité, trop habitué à ces petites piques qu’ils se lançaient de temps à autre. L’aîné passa son bras autour de la nuque du frangin et le ramena contre lui dans une étreinte fraternel, lui ébouriffant les cheveux avec désinvolture.
- Un simple contre temps, vieille bique !
***
Ce jour-ci n’était pas bien différent des autres, un ciel pourtant au départ d’un bleu nuageux, ce devait-être aussi un de ces moments où les deux frères Lestrange, s’adonnaient à la maîtrise de l’épée, un art particulièrement noble et donc, de surcroît, n’étant pas à la portée de tous. Ce jour-ci était l’un de ces nombreux moments passés ensemble où l’on pouvait percevoir les fers se croiser. Un petit crissement ,puis un bruit sourd semblable à une personne tombant au sol, se firent entendre. L’un d’eux émit une faible plainte, l’autre se contenta de ricaner.
- Combien de fois t’ai-je dit de faire attention à ta garde vieille bique! - Une bonne centaine...
Le plus jeune des frères Lestrange paru amusé tandis que l’aîné semblait exaspéré par l’indiscipline qu’adoptait Rabastan. Rien ni personne ne pourrait faire entendre raison à ce garnement. Rodolphus Lestrange le savait, d’autres s’y étaient risqués, tous avaient abandonné jugeant l’enfant trop buté. Il fallait croire que cela était de famille. Vraisemblablement, le grand-frère semblait s’entêter à lui inculquer ce que leur père avait omit de faire. Marié à la bouteille, l’homme ne pouvait pas se saouler et faire attention à l’éducation de ses jeunes fils. Après tout, ce n’était qu’un détail, le père avait décidé de prêter plus d’attention à l’alcool plutôt que de consacrer son temps si vide à sa famille. Qu’est ce qu’un poivrot pouvait bien apporté de plus? Au loin, un «pop» se fit entendre. Les deux frères Lestrange tournèrent la tête dans un même mouvement, pour voir d’où provenait ce bruit.
- Regarde Rab’, l’ivrogne vient de rentrer.
Chaque jour, chaque jour était le même, le père «poivrot» Lestrange revenait toujours à la même heure complètement bourré. La démarche vacillante de l’homme était cependant, peu ordinaire, contrairement à son habitude. Généralement, Ludwig Lestrange ne faisait que tituber, en chantonnant des paroles incompréhensibles du commun des mortels que seuls les poivrots pouvaient comprendre. Tout cela, bien évidemment, seulement dans le but de coucher sa noble carcasse dans un lit, trop fatigué pour faire un quelconque effort pour satisfaire les besoins de sa famille. Quelque chose interpella Rodolphus. Son père semblait trembler, le visage était pâle et les yeux moites. On ne pouvait réellement savoir s’il s’agissait de colère ou de mélancolie puisque pour une fois, celui-ci demeurait totalement silencieux...trop silencieux. Cela alerta les deux jeunes Lestrange, qui dans un regard, se comprirent. Quelque chose n’allait pas. Le ciel s’était peu à peu assombri, les nuages avaient à présent couvert le soleil, laissant peu à peu place à une fine pluie. Rodolphus tapota rapidement l’épaule de Rabastan et fit un vif geste de la tête en direction du manoir. Une porte claqua violemment. Le père disparu du champ de vision des deux frères et pour la première fois, l’aîné semblait inquiet. Peut-être était-ce plutôt un mauvais pressentiment, et pour ne pas arranger les choses, la pluie devenait plus vive. Les frères Lestrange pressèrent le pas en direction du manoir, la vue brouillée par l’eau dégoulinant sur leurs visages tendus. Un cri de terreur retentit. Tout deux savaient que s’ils ne se dépêchaient pas, un malheur allait se produire.
- Plus vite Rabastan!
Arrivé au seuil de la porte, une voix grave, celle de Ludwig, couvrit les gémissements plaintifs de sa femme. Un hurlement, puis encore un autre cri. Ce fût finalement la voix du père qui se fit la plus remarquer. Des mots durs tombèrent comme une sentence injuste envers l’épouse; pourtant la plus fidèle au monde. La foudre éclata au même moment, comme si la main de la justice elle-même avait rendu son verdict. Rabastan lâcha l’épée qu’il tenait encore en main et tomba à côté du corps inerte de leur mère. Le cadet fondait en larmes, perdant la seule personne le maintenant dans le droit chemin. Il n’y avait plus aucun son si ce n’était les sanglots de son frère. Il peinait de plus en plus à les entendre, trop bouleversé par ce que sa vision lui faisait vivre. Cet horrible cauchemar! Rodolphus semblait pétrifié par cette scène macabre dont il était témoin. L’aîné de la famille ne savait que faire. Comment une telle chose avait t-elle put se produire? Ce ne pouvait être vrai, il devait rêver. Des larmes coulèrent le long de ses joues, lentement. Il n’y avait rien à faire, plus rien à faire. Rodolphus regardait cet être abominable qui avait tué sans raison sa mère. Ce fût le père qui rompit en premier ce silence pesant.
- La ferme Rabastan! Arrête de chialer comme une fillette! Tu me fais chier!
Ludwig Lestrange porta un premier coup de pied au flanc du jeune garçon, le faisant pleurer de douleur. Un autre coup fût porté au visage de l’enfant lui ouvrant la lèvre inférieure. C’en fût trop pour Rodolphus. Il venait de perdre sa mère, et voilà que ce porc s’acharnait sur son petit frère. Rabastan était le seul lien affectif fort qu’il lui restait, maintenant le doute n’existait plus. L’aîné serra fermement le manche de son arme que lui, n’avait toujours pas lâché. Rodolphus somma son père d’arrêter de battre Rabastan, sans succès. Le grand frère s’approcha vivement de ce lâche et enfonça l’épée qu’il tenait, dans le corps de l’homme. Rodolphus plongea le plus profondément qu’il pouvait en tournant la lame dans la chair de celui qui avait participé à sa création...non...Cet homme n’était pas son père, mais un simple meurtrier, un inconnu lui foutant atrocement la gerbe. Un long râle fut poussé par cet individu. Tombant au sol lourdement. L’aîné, sans un mot, s’approcha de Rabastan sanglotant, et le prit dans ses bras pour le consoler. Rodolphus n’avait qu’une seule question qui lui était venu en tête: Qu’allait il advenir d’eux?
ØQu'on lui mente • Les moldus • La laine mouillé • Son père • Les amants de sa femme • Qu'on salisse son nom • Les endroits trop peuplés • L'alcool fort • Qu'on s'en prenne à son frère • Les traitres • Ceux qui ont un égo surdimensionné par rapport à leurs réelles capacités • N'aime pas être à court de cigarettes • etc ♥Son frère • l’Angleterre • Les sang-purs • Les morts lentes et douloureuses pour ses victimes • Le silence • La musique classique, plus particulièrement le piano • Sa femme, malgré ses penchants tordus pour son maître • La solitude
♂ • 45 YEARS OLD • MANGEMORT • 10 DÉCEMBRE, 1952 • EX SERPENTARD • SANG PUR / GERMANIQUE • MARIÉ • DEATH EATER
RABASTAN WAYNE LESTRANGE Les frères Lestrange sont connu pour être inséparables. Veillant chacuns l'un sur l'autre, ils ne passent pas plus de deux jours sans se voir. Et pourtant, l'un comme l'autre ont une famille. Rodolphus à sa femme et Rabastan sa fille. Mais cela n'empêche pas aux deux hommes de se consacrer un peu de temps, à boire un verre de Whisky pur feu près du feu, discutant de tout et de rien. Les mauvais coups, comme les meutres, ils les font à deux, couvrant les arrières de l'autre. Les deux hommes sont tellement proches que ça en deviendrait presque bizarre...
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− IRL AGE : 32
− REGISTRED SINCE : 05/11/2011
− PARCHMENTS : 108
− RPG AGE : 17 years old
− CURRICULUM VITAE : élève de poufsouffle en septième année, compte devenir...bah elle ne sait pas en faite. Zelda aimerait bien faire un métier moldu car, malgré ses connaissances pour le monde magique, elle ne connait pas très bien les métiers de celui-ci.