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`` it was a painful day;

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Master Of Magic
− IRL AGE : 73
− REGISTRED SINCE : 19/07/2011
− PARCHMENTS : 197
− RPG AGE : 1000 ans


♣ CHARACTER : WHO ARE YOU ? ♣
♦ ORIGINS: Sang mêlé; -mais personne ne doit le dire-
♦ RELATIONSHIPS:
♦ INVENTAIRE:
Master Of Magic

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MessageSujet: `` it was a painful day; `` it was a painful day; Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 13:06

❧ TOM ELVIS JEDUSOR JUNIOR ❧
• 71 ans, mais début trentaine d'apparence • Seigneur des Ténèbres • 31 décembre 1926 • Anciennement élève à Serpentard • Capricorne • Sang-Mêlé • Célibataire • LE SIEN • Plutôt RICHE • DEATHEATERS


"- Tu ne cherches pas à me tuer, Dumbledore ? Tu ne t'abaisses pas à de telles brutalités, n'est-ce pas ?
- Nous savons tous les deux qu'il existe d'autres moyens de détruire un homme, Tom. Me contenter de prendre ta vie ne me satisferait pas, je l'avoue...
- Il n'y a rien de pire que la mort, Dumbledore."

[ Tom Elvis Jedusor Junior, Albus Dumbledore ]


♫♫♫



Celui qui a le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres approche... il naîtra de ceux qui l'ont par trois fois défié, il sera né lorsque mourra le septième mois... et le Seigneur des Ténèbres le marquera comme son égal mais il aura un pouvoir que le Seigneur des Ténèbres ignore... et l'un devra mourir de la main de l'autre car aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit... Celui qui détient le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres sera né lorsque mourra le septième mois...

Cette voix froide, lugubre, et sombre, résonnait dans son esprit, tel un écho. Les délicates paroles tant mystérieuses de cette prophétie affluaient en lui, afin de le corrompre grâce au mépris, à la curiosité, et à cette soif de vengeance qui ne serait jamais tarie. Il avait eut le choix, à cette époque. Et il avait choisit le Sang-Mêlé. Cette ascendance, la même que la sienne, qu’il haïssait tant. Il aurait tué, pour s’ôter de ses veines bleutées ce lien de parenté avec cette race d’êtres inférieurs, ces Moldus, qui entachaient la pureté des Peverell. Littéralement obsédé par sa lignée, Tom Elvis Jedusor avait très tôt découvert qu’il était le digne héritier de Salazar Serpentard, dés ses premières années à l’école de sorcellerie Poudlard, selon ses plus lointains souvenirs. Il se souvenait encore d’avoir tué ses grands-parents moldus, et de s’être servit de leur manoir à Little Hangleton, comme un quartier général. Celui qui servirait sa cause, et ses Mangemorts. "Celui qui a le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres approche... il naîtra de ceux qui l'ont par trois fois défié, il sera né lorsque mourra le septième mois... et le Seigneur des Ténèbres le marquera comme son égal mais il aura un pouvoir que le Seigneur des Ténèbres ignore... et l'un devra mourir de la main de l'autre car aucun d'eux ne peut vivre tant que l'autre survit... Celui qui détient le pouvoir de vaincre le Seigneur des Ténèbres sera né lorsque mourra le septième mois..." L’un devra mourir de la main de l’autre car aucun d’eux ne peut vivre…tant que l’autre survit…Cette phrase, lui suffisait amplement. Il ne voulait pas connaître la suite de l’histoire. Tout ce qui importait au Seigneur des Ténèbres, était le dénouement qui subviendrait lorsqu’il aurait tué Harry Potter. Le garçon, qu’il avait marqué comme son égal, ce fameux soir à Godric’s Hollow.

Le Dark Lord vint s’emparer de sa précieuse baguette magique, qu’il caressa distraitement de ses longs doigts blafards, pâles comme la mort. Il sonda ce pouvoir, cette force, inimaginable, qui émanait d’elle. Mais ce n’était pas celle-là qui lui fallait.

La baguette de Sureau…

Un frisson le fit sourire. Mauvaisement. Un rictus, apparût sur ses lèvres blanches, presque inexistantes.

Avec elle, il serait invincible. Il pourrait exécuter les mots de la prophétie, sans l’ombre d’un doute. Sans échec. Non. Plus encore. Plus d’échec, par Merlin.

‘L’un devra mourir de la main de l’autre car aucun d’eux ne peut vivre…tant que l’autre survit…’

Pourquoi ? Pourquoi ce garçon si – si insipide – parvint encore à résister ? Comment ?

‘L’un devra mourir de la main de l’autre car aucun d’eux ne peut vivre…tant que l’autre survit…’

Par quelle sombre magie…me surpasse-t-il ? Moi. Le plus grand mage noir.

Assez…Le garçon mourra. La prophétie en est formelle. Il mourra. Je le sais.

‘L’un devra mourir de la main de l’autre car aucun d’eux ne peut vivre…tant que l’autre survit…’


« Assez ! »

Ses paupières s’entrouvrirent brusquement, laissant miroiter deux iris rougeâtres, semblable à des gouttes de sang fraîches. Il balaya la lourde pièce du regard, et s’arrêta face à la cheminée, d’où un feu crépitait depuis déjà une bonne heure et demie. Contre le tapis, reposait un imposant serpent verdâtre, les yeux injectés de sang, et sifflotant péniblement entre ses crochets acérés d’une blancheur inégalée.

« Nagini…Viens près de moi. »

Gémit le Seigneur, en toisant avec une intensité qui lui était propre, ce serpent. Ce dernier pencha son immense tête vers le maître. Il sifflota, un air familier. Et rampa le long du tapis brûlé, il rampa, s’exprimant dans sa langue, sans attendre une quelconque réponse. Arrivé près des jambes encapuchonnées dans ce vêtement noir, en tissu plus ou moins épais, Nagini posa sa tête contre l’accoudoir droit du fauteuil en velours vert bouteille.


"J'arrive à déplacer des objets sans les toucher. Les animaux font ce que je veux sans que j'aie besoin de les dresser. Je peux attirer des ennuis aux gens qui me déplaisent. Leur faire du mal, si j'en ai envie."


Avec grande surprise, le Seigneur des Ténèbres posa sa main sur la tête rugueuse et couverte d’écailles du grand serpent, celui qui l’avait accompagné depuis ses premiers méfaits. Nagini avait toujours été là, près de lui, au point qu’il en avait fait un Horcruxe, afin de s’assurer de sa survie en cas de coup dur. Personne n’aurait pu deviner que ce serpent, semblant à s’y méprendre à un animal de compagnie, pouvait receler de telles surprises. De la magie ancienne. Et très dangereuse.

Horace Slughorn, son professeur à Poudlard, l’en avait avertit. Tom s’en souvenait très bien. Il l’avait tenté, lui avait demandé, de son ton charmant, et son allure de bon élève, premier de sa promotion, à révéler tous ses secrets, tout ce qu’il savait au sujet des Horcruxes. La réponse de son ancien professeur l’avait rendu plus que satisfait, et bien décidé à percer le mystère qui entourait cette forme sombre de Magie, défendue à quiconque.

Il en avait créé sept, finalement.

Sept Horcruxes, tous dépendants de sa personne, et tous désignés comme des objets exceptionnels, des choses qui l’accompagnait, qu’il touchait, ou qu’il pouvait représenter comme des…

Trophées.

C’est ce qu’ils étaient, aux yeux de Lord Voldemort. Au même titre que ce qu’il avait dérobé, une fois jeune, à l’orphelinat, aux enfants qui lui faisait du mal ou qui ne lui plaisait pas. Un harmonica terni, un yo-yo, un dé à coudre en argent…Sa manie de kleptomane l’avait finalement suivie jusqu’à Poudlard, jusqu’à la fin.

Un rictus apparût progressivement sur ses lèvres pâles et blanchâtres, face à la remémoration de ces précieux souvenirs. Ils lui semblaient bien vieux, à présent. Mais toujours aussi vivifiants, et empreints d’un charme envoûtant. Lord Voldemort sifflota quelques mots en Fourchelang, s’adressant à son plus fidèle ami, Nagini. Serais-ce de la folie, de désigner un animal comme plus proche ami ? Pas lorsque l’on pensait à Lord Voldemort, car après tout, ces êtres, les Mangemorts, lui jurant fidélité et loyauté, et qui le suivaient du début à la fin, n’étaient pas semblables à des amis. Ils le croyaient dur comme fer, mais jamais le Seigneur ne les auraient vus ainsi.

Il n’avait pas d’amis. Il n’en voulait pas, et n’en voyait en aucunement le besoin. Lord Voldemort, même à l’époque où il ne s’appelait que Tom Elvis Jedusor Junior, ne s’était jamais approché de camarades, n’avait pas eut d’amis, d’affection, ou ressentit ce besoin de se vouer à l’amitié et à l’amour – des sentiments humains qui l’écœurait bien plus qu’il n’y paraissait.

Un son se rependit, non loin de là, alertant le Seigneur des Ténèbres de manière définitive. L’imposant serpent lui susurra quelques paroles d’avertissement, lui expliquant que cela devait être Malefoy, McNair, et Nott qui approchaient à grands pas. Voldemort ne répondit pas, et garda la paume de sa main droite logée sur la figure de son animal, avec une possessivité qui lui était propre.

« Ah, mes fidèles amis… lâcha-t-il, ironiquement, en bougeant avec légèreté son bras gauche, celui qui ne tenait pas la tête du serpent Nagini, de façon à les accueillir, avec un ton faussement paternel. Je vois que vous avez reçus mon message, et vous voir aussi vite – vers moi, me réjouis fortement. »

Les trois autres s’agenouillèrent aussitôt, et le plus grand, Malefoy père, leva les yeux vers le Seigneur, afin de capter son attention à travers le masque qui masquait ses traits faciaux.

« Mon Seigneur…votre présence ici, enfin en vie, nous honore de la plus noble des manières, et je…me permettrai de parler au nom de Nott et de McNair, en disant que nous avons quelque chose qui vous fera très plaisir, sans aucun doute.
- Vraiment, Lucius ? l’autre arqua un de ses sourcils foncés, méfiant.
- Oui, mon maître…La petite Ella Pittswick, proche du directeur du département des Mystères… »

Les deux autres Mangemorts étirèrent un sourire sans joie, et divinement mesquin. Lord Voldemort daigna enfin se lever, et circula dans la pièce uniquement éclairée par le feu crépitant de la grande chemine en pierres. Les mains croisées dans son dos, et le serpent le suivant de près tout en sifflotant, Voldemort fit brutalement volte-face et agita sa main.

« Amenez moi donc votre cadeau…amenez le moi… »

Un sourire à la connotation des plus sadiques s’afficha sur le visage du Seigneur des Ténèbres, à la simple idée de pouvoir faire parler une pauvre, et innocente victime, à sa manière. Ses complices lui offraient une divine surprise, un moyen de calmer cette impatience, et cet énervement qui l’obsédait depuis déjà une bonne semaine. Le Seigneur glissa sa main vers la poche droite de sa large cape noirâtre, à la recherche de sa précieuse baguette magique. Il la caressa, du bout des doigts, de ses doigts longs, blafards, et tremblotants d’excitation.

McNair disparût à l’encadrement de la lourde porte en bois pour aller chercher la jeune femme, qu’il tenait par l’avant-bras droit, faisant quelques pas dans la pièce avant de la jeter sur le tapis devant son maître avec nonchalance.

« Ella Pittswick, fiancée du directeur du département des Mystères, et sang de bourbe. » annonça McNair, avec dégoût.

Lucius fut le plus rapide, lorsqu’il capta le regard intéressé de la sorcière vers la porte grande ouverte. Du bout de sa baguette, un simple sortilège résonna, et la porte fut magiquement fermée. Verrouillée. La sorcière au sang impur ne pourrait donc plus s’enfuir.

« Sang de Bourbe. » siffla la voix traînante et glaciale du Seigneur, dardant son regard mauvais sur elle, la détaillant de haut en bas.

Elle était rousse. Une jeune rousse de taille moyenne, plutôt fine et élancée, aux yeux verts émeraude.

Ses yeux…Les mêmes que la mère de ce balafré de Potter.

Un nouveau rictus naquit sur le visage de Voldemort, tandis qu’il jouait à caresser du bout de son index, sa baguette magique.

L’autre ne répondit pas, se refusant certainement d’obéir à un homme qui la désignait comme une « Sang de Bourbe ». Mais elle tremblait, de tout son corps, et n’osait à peine le regarder en face.

Bien. Il sourit, satisfait de son petit effet, puis s’avança le long du tapis, et posa la pointe de la baguette contre la gorge de la jeune femme. « Si tu ne parles pas, Sang de Bourbe, tu souffriras. Tu le sais, n’est ce pas ? » ricana le grand homme brun, au sourire méchant. « Dis moi…dis moi tout… »


***


Elle se cambrait de douleur, allongée par terre, se tenant la tête de ses mains, alors qu’on lui jetait des sortilèges de Doloris.

« Je vous ai tout dit ! Je vous le jure ! » implora la rouquine, en proie à la folie, devant tant de douleur. Elle suppliait, à genoux, en larmes, mais rien ne semblait fonctionner avec Voldemort.

« Ce n’est pas…ASSEZ. » l’interrompit-il, grinçant des dents, sa voix grinçant en écho. « ENDOLORIS ! »

Le hurlement strident qui résonna suite au sortilège, en aurait cloué plus d’un sur sa chaise, de terreur. McNair continuait de dévisager la née Moldue avec amusement, tout comme Malefoy…Et Nott, ce très cher Nott, avait le regard emplit d’hésitation.

Ce n’est qu’au bout d’une dizaine de minutes, qu’il en eut assez de ce maléfice, et décida de se montrer beaucoup plus convaincant. Souriant méchamment, Voldemort murmura une incantation, presque inaudible, avant de fixer avec intensité la née Moldue. Alors qu’elle se demandait ce qu’il avait bien pu marmonner, une douleur commença à naître progressivement au niveau de ses poignets. Ella baissa les yeux vers ces derniers, et sentit des larmes ruisseler à nouveau. Ils commençaient à se fendre, comme une crevasse, laissant deviner des os, de la chair en sang…et petit à petit, ils commencèrent à se détacher de ses coudes, et à tomber sur le tapis. Quelle était donc cette magie ? Une illusion ? Ou…un maléfice obscur ?

Ella hurla, et fixa ses moignons ensanglantés avec peine, hoquetant un nombre incalculable de fois, et gémissant près du feu. Elle fixa le Seigneur des Ténèbres dans les yeux, et ce qu’elle y vit, la foudroya de plein fouet. Il riait. Il était content.

Voldemort n’apprécia guère cette tentative de « rébellion » à le regarder dans les yeux. Personne ne pouvait le fixer ainsi. Il n’aimait tout simplement pas l’idée qu’un autre être, en particulier inférieur à lui, daigne croiser son regard avec force. Pour la punir, le Seigneur se retourna et scruta son serpent. Son sourire devint vicieux.

« Mange la…Mange la… ! »

Cracha le Seigneur des Ténèbres, à l’adresse de Nagini, qui s’approchait en rampant du corps frêle et féminin étendu sur le sol, couvert de son propre sang poisseux, et livide. Elle étouffa un gémissement et tenta un mouvement de recula à l’aide de ses coudes ensanglantés, et coupés de manière à laisser deviner qu’elle n’avait plus de mains. Ella cria de douleur, et se courba en un boulet, sur le tapis salit. Des larmes salées coulèrent le long de ses joues pâles comme la mort, alors qu’elle marmonnait quelques paroles de supplications aux Mangemorts, à ses bourreaux, qui se contentaient de sourire comme des déments, ou de ricaner mauvaisement. Ils se moquaient tous d’elle, de son état pitoyable, de ses membres arrachés, de la douleur que cela lui conférait d’esquisser le moindre mouvement, ou encore, de pleurer. Ses lèvres coupées rentrèrent en contact avec ses larmes, ce qui lui provoqua à nouveau un couinement de douleur.

« Pitié, je vous en supplie… » gémit-elle, en vain. Aucun des quatre hommes ne la regardait avec compassion, ou ne serais-ce, qu’avec une once de pitié. Ils ne se préoccupaient guère de sa santé, ou de sa souffrance, car tout ce qu’ils voulaient, c’était de la voir mourir.

Nagini attaqua à la seconde, la bouche grande ouverte, dévoilant ses longues incisives qu’il planta dans la chair tendre de la jeune femme de vingt-cinq ans, lui laissant d’imposants trous gorgés de sang et de venin. Elle cria, hurla, mais personne ne réagit. Le serpent continua de l’attaquer, inlassablement, avant de finir par engloutir goulument sa tête rousse et de la dévorer au fur et à mesure, l’attirant de tout son long dans son grand estomac. Le spectacle fut atroce, inhumain, et certainement horrible à regarder, mais le Seigneur des Ténèbres, qui avait admiré la scène avec force, les yeux injectés de sang, était satisfait du travail de Nagini. Il alla même lui caresser le sommet de son crâne, avec bienveillance, avant de retourner s’asseoir sur son fauteuil fétiche, devant les regards plus ou moins tendus des trois serviteurs.

« Vous pouvez me laisser à présent. Je vous convoquerai dés que j’aurais besoin de vos services à nouveau, mes amis. »

Murmura Lord Voldemort, distraitement, tandis qu’il fermait ses pupilles afin de profiter au mieux de l’odeur du sang, du combat, et de la souffrance mêlée aux larmes de cette petite chose impure. Les trois ombres s’évanouirent brusquement, obéissant à ses ordres, et le laissant à une solitude qu’il méritait tant. Nagini se roula en boule près du feu, et effectua la même chose que son maître.

Il s’assoupit, repu de son déjeuner des plus copieux.

Ø les nés moldus – la vermine – qu'on mentionne ses origines – la désobéissance – l'humiliation – Albus Dumbledore – le Survivant – ls groupuscules de justiciers luttant pour la lumière et le bien – la naïveté de la jeunesse – échouer – tout ce qui représente Dumbledore et donc Poudlard.
la pureté du sang – ses fidèles mangemorts – le pouvoir absolu – vaincre la mort – son serpent Nagini – la bière-au-beurre – les plats fort bien préparés – les soirées auprès de ses fidèles – faire acte d'autorité – tuer pour sa cause – qu'on le supplie – torturer, et brûler des villages – son manoir à Little Hangleton – le Fourchelang – son sang descendant des Peverell.

ETIQUETTE ►
Lord Voldemort à souvent été vu comme quelqu'un d'effrayant, et de potentiellement dangereux. Même à Poudlard, on le désignait presque comme un jeune adolescent taciturne, casanier, et atrocement solitaire. Très peu de choses ont changé, une fois à l'âge adulte. Il est à présent connu dans le monde Magie tout entier, et y règne la terreur, la crainte, et le déshonneur. Ses préjugés ne sont nullement cachés, et chaque sorcier, ou sorcière, prie, afin de ne pas se réveiller près de lui un beau matin.

FAMILLE ►
Tom Jedusor n'a jamais été très famille. Il n'en à jamais eu, en vérité. Sa mère, descendante de Salazar Serpentard est morte en couche, et son père un moldu du nom de Tom Jedusor senior vivait tranquillement auprès de ses parents dans un manoir à Little Hangleton après avoir repoussé Mérope Gaunt, la génitrice de son propre fils. Ils ne s'aimaient pas, en réalité. Du moins, pas Tom Senior. Mérope, amoureuse de ce Moldu égoïste et riche, fut forcée de le droguer au philtre d'amour pour pouvoir rester auprès de lui, jusqu'à ce qu'un beau jour, croyant naïvement qu'il était réellement tombé amoureux d'elle, la jeune femme arrêta de lui administrer cette sombre potion. Il la jeta dehors, et n'entendit jamais parler de son enfant, élevé dans un orphelinat pendant des années. Celui qui allait devenir lord Voldemort réalisa qu'il était l'héritier de Serpentard en personne dés ses premières années à Poudlard, il parlait au serpent, et il ne lui fallait pas bien longtemps pour découvrir pourquoi...Il ne connut la vérité au sujet de son père Moldu que bien plus tard, lorsque son chemin croisa celui du village de Little Hangleton et qu'il parla à son oncle Morfin. Tom tua par la suite ses grands parents paternels, ainsi que son père, dégoûté de cette histoire. Et il n'en parla jamais à quiconque.

ORIGINES ET NATIONALITE(S) ►
Lord Voldemort naquit en Angleterre, et il n'a jamais réellement quitté sa nation, ce qui fait qu'il est Britannique. Cependant, malgré les idéaux qu'il ne cesse de revendiquer, seul le côté de sa mère est extrêmement pur, mais son père, fut un Moldu, un moins que rien. Voldemort est donc un Sang-Mêlé. Même si peu de gens le savent...Il est assez puissant pour dissuader quiconque de se lever contre lui.

TRAITS DE CARACTERE ►
Tom Jedusor, alias Lord Voldemort, est un homme colérique, impétueux et cynique. Lorsqu'il entre dans une de ses colères, plus rien ne peut l'arrêter, et il ne reviendrait à la raison que dans un bon bout de temps. Sa voix sombre, glacée et traînante continue d'effrayer une grande majorité d'interlocuteurs. Il se montre néanmoins fort patient, mais très peu conciliant, et en aucunement, tolérant. La traîtrise, ou l'insubordination à son égard conduit immédiatement à la mort. Voldemort n'éprouve aucune compassion, et encore moins de la pitié, pour qui que ce soit. Il considère d'ailleurs ces émotions comme des faiblesses, au même titre que les larmes, ou l'amitié. N'ayant jamais côtoyé un milieu heureux, une famille aimante, Voldemort se voit dans l'incapacité d'aimer quelqu'un, sincèrement. Il n'aime personne, et même ses fidèles Mangemorts ne sont pour lui que des pions ou des sous-fifres, et nullement des amis. Il n'a jamais eut d'amis, et n'a jamais désiré en avoir. Le seul être au monde qui aurait gagné un semblant de sympathie, est son serpent apprivoisé Nagini. Malgré tout, il n'en reste pas moins un homme, avec des désirs, des ambitions, et des buts à atteindre. Il se donne tous les moyens de se surpasser, et de réussir là où il le souhaite. C'est un sorcier déterminé, tenace, et certainement convaincu que sa cause est la bonne.

LES VICES CACHES ►
Votre personnage a bien des vices, ou une quelconque face cachée, n'est-ce-pas ? Il est donc temps de nous l'indiquer ci-dessous ! (5)
La Colère.
L'envie.
L'Orgeuil.
L'avarice.
La luxure.


MANIES ET TICS/TOCS ►
L'une de ses plus grandes manies serait très certainement d'exercer un semblant d'autorité sur la grande majorité de ses fréquentations. Il aime le pouvoir, et le désire plus que tout, ainsi, son plus grand plaisir est de voir ses adversaires, ses proches, et tous ceux qui l'entourent, courber l'échine devant lui. Cultiver la terreur, et la douleur demeure son plus grand passe temps. Rentrant facilement dans des crises incontrôlables de colère, le sorcier ne se contrôle pas, et ne cherche sans doute pas à le faire ; le voir s'énerver, tuer, sans raison apparente, ou crier, devient familier, en fin de compte. Il à également la manie de tout vouloir réussir seul; détestant plus que tout au monde qu'on intervienne, ou qu'on l'aide dans quoi que ce soit, car selon lui, il ne peut y arriver que part lui même, et personne d'autre possède son intellect si développé. Lord Voldemort n'a, en outre, aucun toc, et reste parfaitement sain d'esprit, malgré son penchant pour le sadisme, la cruauté, ainsi que la ségrégation qui demeure néanmoins du registre des préjugés sociaux et raciaux...

SIGNES PARTICULIERS ►
Lord Voldemort dispose, de comme bon nombre de ses fidèles, de la fameuse Marque des Ténèbres sur son avant-bras. Un tatouage imposant et terrifiant, en forme de tête de mort, qui bouge, et brûle la peau, dés qu'un de ses doigts se pose sur ce signe fort symbolique.

CONVICTIONS, ET IDEAUX ►
Très tôt, il s'est sentit supérieur aux autres, et bien qu'il en ignorait les raisons au début de sa jeunesse, le jeune Tom Jedusor le sentait, au plus profond de lui même. Il était différent. Très. Ses convictions l'ont poussé à croire en la suprématie de la race sorcière sur les Moldus, êtres infectes, qui ne devraient pas voyager dans leur monde à eux. Dans son monde. Bourré de préjugés, ses idéaux demeurent tous mesquins, égoïstes, et extrémistes. Aucune parcelle de bien, de bonté, ou de gentillesse n'anime cet homme inspiré que par la dévastation et la destruction de toute créature qu'il jugerait néfaste pour la sécurité des Sangs Purs. Il croit, plus que tout au monde, en l'avènement des Purs, et en l'asservissement des Moldus, ou toute autre race apparentée, comme les créatures Magiques.

PATRONUS ►
Il n'a sans doute jamais réalisé ce sortilège auparavant, ayant les Détraqueurs à son service et à son bon vouloir...Mais si Voldemort utilisait le sort du Patronus, ce serait probablement un serpent, voire un Basilic, qui apparaîtrait du bout de sa baguette, en une fumée opaque, blanchâtre et argentée.

EPOUVANTARD ►
Chose surprenante, il s'agirait de la mort en personne. Il se verrait lui même, mort, à travers l'épouvantard. Cela s'explique notamment du fait que Lord Voldemort considère la mort comme une chose honteuse, et humiliante.

MIROIR DU RISED ►
Comme tout élève, il s'y est déjà confronté un jour, à Poudlard, et son reflet représenterait lui-même, fort, puissant, et immortel.

BAGUETTE MAGIQUE ►
La baguette de lord Voldemort est fait de bois d'if et d'une plume de phénix à l'intérieur, particulièrement de Fumseck. Elle ferait 33,75 cm.


❧ HAVE YOU SEEN THIS MUGGLE ? ❧

HORS-JEU :
Bonjour à vous mes petits agneaux magiques ! Je me nomme Maddie, et j'ai depuis quelques jours dix-neuf ans, huhu. J'ai choisi, avec ma très chère Abby, pour représenter Tom, le mignon Tom Sturridge. Ironie, ils ont le même prénom... *sourire* Finalement, j'ai trouvé le forum par hasard, je l'ai suivi...et il est bien, ma foi ! Le code à été vu par Voldychou en personne.
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